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LA CHATTE A TA MEYRE
comptedecul
Dylan Collins
Cross off the days gone by
Decline your identity

▬ NOM Collins
▬ PRÉNOM(S) Dylan
▬ ÂGE 26 ans
▬ NATIONALITÉ Americaine 
▬ ÉTAT CIVIL Celibataire
▬ MÉTIER Pompier
▬ GROUPE Wereacreatures
▬ AVATAR Ichi - Bazzart

   
People with fake personality are nothing.


La rage de vivre. C’est ce qui a toujours animé Dylan et c’est qui lui a permis d’avancer. D’être l’homme qu’il est aujourd’hui. En se forgeant seul avec, pour toute base - aussi minime soit-elle -de personnalité, des parents non recommandables, il faut avoir une bonne étoile au dessus de la tête pour ne pas devenir comme ses bourreaux. Mais pour Dylan, la chance, la bonne étoile ou encore des marraines bonnes fées n’ont rien à voir dans son histoire. Sa personnalité, il ne la doit qu’à lui seul. Et, si par le passé, durant son adolescence tumultueuse, le jeune homme n’en était pas fier, ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Parce qu’à l’âge de 26 ans, le brun a réussi à devenir le parfait opposé de ce qu’il a eu sous les yeux pendant des années. Protecteur est sans doute le plus grand contraste entre lui et son père. Même si Dylan est un fils unique et qu’il n’a jamais eu de petite soeur à protéger ou de bêtises de petit frère à couvrir, il ressent ce besoin d’encaisser les dommages à la place des personnes qui lui sont chères. Il est prêt à endurer bien des misères pour éviter le plus petit des troubles pour ses proches. Parce qu’il se sait résistant. C’est un combattant et surtout un endurci. Blague à part, Dylan serait capable de traverser les flammes pour sauver les quelques personnes qui ont une place particulière dans son coeur.

Avec lui, vous n’aurez pas de mauvaise surprise. Pas d’instant où vous verrez son “réel” visage puisqu’il ne cache rien. Dylan n’est pas mauvais. Il n’est pas fourbe ni manipulateur. Ce que vous voyez de lui est sa personnalité brute. Cela peut être un avantage mais aussi un inconvénient. Cela dépend des traits de caractère auxquels vous aurez affaire. Si vous réussissez à passer la barrière de son air froid permanent et que vous arrivez à voir que Dylan semble être un homme doux altruiste mais quelque peu secret, sachez qu’il possède comme tous les êtres humains, certains défauts.

Pour tout résumer, le brun est ce que l’on peut qualifier de sanguin. La colère est ce qui fait couler son sang depuis son enfance. Parce que, si le jeune homme ne s’est pas laissé imprégner par la violence, il en a tout de même conservé des souvenirs. Et ces souvenirs ont forgé quelques défauts comme sa rancune. Ne vous avisez jamais à lui faire une crasse, à lui planter un couteau dans le dos. Ou alors, n’en attendez jamais le pardon. Parce que vous ne l’obtiendrez jamais. Dylan à la rancune tenace et sévère. Et la rancune accompagnée par un petit côté têtu ne fait jamais bon ménage.

Sachez aussi qu’il n’est pas bon de venir lui chercher des noises. Aussi bagarreur qu’à son adolescence, il n’a clairement pas peur d’en venir aux mains. Alors, réfléchissez bien avant de vous attaquer à lui. Parce qu’il ne lâchera pas tant qu’il n’aura pas le dessus. Pour autant, il ne cherchera jamais l’affrontement le premier. Mais, vous l’aurez compris, rendre les coups n’est pas ce qui le dérange le plus au monde.

Au final, Dylan est un homme dont le passé a laissé des séquelles bien qu’il en affirme le contraire. Il combat encore ses démons même si celui qui l'effrayait le plus soit hors d'état de nuire désormais. Son combat intérieur le rend difficile à cerner, à comprendre. Mais avec de la patience peut-être arrivez-vous à voir que la seule chose que cherche cet ancien soldat est une vie à peu près normale.


And you ? Who are you ?
▬ Pseudo Aeeklez ▬ âge 28 ans  ▬ Fréquence RP2/7▬ Code Réglement REMPLIR ICI ▬ Comment es-tu arrivé ici ? Je crois que j'ai participé à sa création ? ▬ Dernier mot ? To infinity and Beyond !
HERA
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Date d'inscription : 12/11/2019
Messages : 6
Mar 12 Nov - 21:23
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comptedecul
FICHE DE PRÉSENTATION

Deuxième partie : Histoire


We are all fallen creatures
And we are the hero of our own story
Son passé, Dylan en conserve un goût amer. Le goût du sang dans la bouche, provenant de ses lèvres explosées par les chocs répétés. Il se souvient des difficultés à fournir des explications crédibles lorsque, le visage tuméfié, il arrivait à l'école et accusait les regards insistant de ses professeurs. Il se souvient des nuits passées à pleurer en silence. Il n'oublie pas la crainte provoquée par une main levée, prête à s'abattre, sur sa mère ou sur lui. Le petit Dylan aurait tout donné pour avoir une enfance normale. Mais chez lui, la petite souris ne passe jamais, sans doute parce que ses dents ne tombent pas de la bonne manière. Le Père Noël non plus, sans doute parce que, comme le dit si fort son père, il n'est pas assez sage. Pas assez méritant. Et aucune aide ne lui ai apporté. Aucun réconfort ne lui ait donné par celle dont c'est le rôle. Sa mère, aussi soumise que silencieuse, refuse de s'interposer ou d'agir. De prendre encore plus de coups qu'elle n'en reçoit déjà. Et le paternel en profite, lui qui possède la place forte dans la maison. Il en use et en abuse, en roi de son royaume, peu inquiet de détruire ses sujets.

Et, sans comprendre, Dylan reproduit ce qu'il vit au quotidien dans la cour de l'école. Enfant turbulent, violent, imposant le respect par la crainte, il ne peut pas vraiment dire que les petits copains qui l'entoure sont de réels amis. Il est puni. Et lorsqu'il est puni, son père le sait. Et la sanction est double. Doublement douloureuse. Doublant sa rancœur un peu plus chaque jour. Et au lieu de chercher les raisons de ce comportement, le corps enseignant en fait simplement un constat, floué par les sourires et le talent d'actrice d'une mère qui feint ne pas comprendre la cause.

Sa scolarité est un véritable échec. L'adolescence arrive et décuple sa haine au passage, ne laissant que le chaos derrière elle. Dylan n'est plus un enfant. Les coups, la violence, ne sont pas des choses normales, il en a désormais conscience. Mais la situation ne change pas. Pire même, elle s'aggrave avec les années, les bêtises de Dylan gagnant en intensités au même rythme que les années qu'il encaisse difficilement. Il n'a qu'une hâte : Quitter cet endroit. Mais il n'y laissera pas sa mère, aussi transparente soit elle. Pour ça, il sait qu'il doit être patient. Mais les plans ne se déroulent jamais comme prévu chez les Collins. Et le couteau dont il s'arme ce soir là vient tout foutre en l'air. Son geste, maladroit mais ferme, change son destin à tout jamais, mais pas forcément dans le sens que l'adolescent souhaitait. Geste manqué, le paternel survit et la justice s'en mêle, décidant de son nouvel endroit de vie. Et, rayonnant de son pouvoir son père, poursuivi pour violences domestiques, s'en sort grâce à l'aide précieuse d'une femme tellement dévouée qu'elle en prend son parti, plutôt que celui de la chair de sa chair. Dylan est placé et une nouvelle famille l'aidera à régler ses problèmes.

Ça, c'est ce que la justice s'est dite. Ce dont elle croit férocement, pensant agir pour le bien des enfants.
Mais comme pour le choix d'avoir relâché son père, la justice prit la mauvaise décision. D'erreur en erreur, jusqu'au bout.

De pire en pire. De dégradation de bien public au vol de bouteille dans un liquor shop. De vol en incendie criminel de voiture. Dylan ne compte plus les arrestations. Son besoin de liberté, d'estime, le pousse à commettre ses larcins sans jamais en obtenir ce qu'il souhaite. Pourtant, Blake et Connor sont des tuteurs patients et bienveillants. Mais Dylan ne veut rien d'eux. Rien n'importe plus que le sentiment de liberté qu'il ressent, chaque nuit où il sort par la fenêtre de sa chambre. Chaque fois qu'il agit au préjudice d'un autre, comme pour dégueuler son mal-être sur les autres, pensant s'en défaire à chaque fois. Comme pour se retirer ce poids dont il ne sait quoi faire mais qui lui pèse, dès qu'il ouvre les yeux chaque matin.

Et Dylan ne laisse pas le choix à Blake et Connor. Une nouvelle fois, ses valises sont prêtes et il est chassé de chez lui. Mais cette fois, aucune possibilité de continuer son petit train de vie. Parce que, cette fois, la justice s'est réveillée. Trop tard, comme toujours. Et injustement, peut-être. Mais Dylan est envoyé à Eichen House. Son arrivée est difficile mais il s'y adapte, patientant jusqu'à sa son départ pour l'armée, l'année de ses 18 ans.

Et ce choix marque un tournant dans sa vie. Enfin, il se trouve un but. Il savoure son indépendance en se sentant utile. Et les règles strictes ne sont rien comparé à l'esprit solidaire qu'il découvre avec ses frères d'armes. L'adolescent se transforme en un adulte bien plus sage, plus réfléchi, forgé par le cadre et les limites données par son nouveau métier. Lui qui avait, jusque là, refusé toute forme d'autorité, se surprends lui même à en apprécier les codes. Dylan ne fait pas de vague. Il en bave, il en chie, comme les autres. Parce que là-bas, tout le monde est à la même enseigne et tout le monde se fout de l'enfance que vous avez pu avoir. Rien d'autre ne compte que ce que vous êtes maintenant.

Et c’est à partir de ce moment là qu’il se forge sa propre vie, à sa manière, selon ses choix et ses envies. Enfin Dylan devient ce qu’il est, à un détail près.

Il garde un souvenir flou de cette nuit là. Posté dans un coin reculé de l’Afghanistan avec pour ordre d’abattre un groupe de talibans ayant asservi un village, l’ordre d’intervention est prévu à l’aube. Le couchage est rudimentaire, semblable à tous ceux qu’il a vécu auparavant. Tenue de camouflage beige pour se fondre dans ce sable qui lui remplit la bouche et le nez à chaque fois qu’il respire. Tours de garde précis, pour maintenir leur sécurité qu’ils pensent, à tort, acquise. Comment l’ennemi a pu savoir leur position ? Jamais personne le saura. Après tout, la guerre n’est qu’un jeu. Celui du plus malin, du plus préparé. Du plus stratège. Et malheureusement, les talibans sont sur leur territoire. Ils connaissent chaque recoins, ont menacé chaque habitant qui se trouve dans les parages. Mais leur attaque n’a rien de normal. Tout est trop rapide, trop soudain. Les soldats américains n’ont pas le temps de riposter. Ce qui se tient en face d’eux n’est pas vraiment humain. L’appel pour des renforts est tout de même lancé mais son escouade est terrassée et lui, laissé pour mort, le torse lacéré.

Le rapatriement à la base, les soins, sa courte convalescence, Dylan n’en garde aucun souvenir puisque plongé dans l’inconscient. Ce n’est qu’à son réveil, trois jours après l’attaque, qu’il réalise que quelque chose cloche. Sa blessure a disparu et, malgré les prouesses de leur équipe médicale, une cicatrisation ne peut pas être aussi rapide. Mais ce n’est pas la seule chose étrange qui se produit. Il y en a une autre, bien plus profonde et inexplicable, sur laquelle le jeune homme est incapable de mettre des mots. Un changement. L’arrivée de quelque chose qu’il ignore.

Il ne reste que quelques semaines sur la base avant de retrouver sa mère patrie, sur cette permission que tout son groupe attendait avec impatience. L’avion le ramène chez lui où personne n’est là pour l’accueillir. Mais il ramène également les corps de ses compagnons pour la cérémonie d’honneur organisée comme pour chaque américain tombé au combat. Dylan y participe, un goût amer dans la bouche et des questions plein le crâne. Pourquoi lui ? Qu’elle était cette chose qui s’en était pris à eux ? En boucle, il se répète les déclarations qu’il a donné à ses supérieurs : Un homme. Des yeux rouges comme des flammes. Rapide. Violent. Les ayant pris par surprise. Sa mâchoire se serre alors qu’il s’abaisse pour venir soulever le cercueil et le poser sur l’épaulette de sa tenue d’honneur. Il bouillonne. Sa colère s’intensifie chaque minute. Elle fait pulser ses veines et il en ressent le feu au creux de ses entrailles. Lui même se surprend à réagir de la sorte. Un tel déferlement de sensations, de sentiments puissants. Les premières notes de trompette de Taps  le tire de ses pensées et a le mérite de l’apaiser. L’instant n’est pas à la vengeance. D’abord, l’honneur doit être rendu à ses hommes ayant sacrifié leur vie pour leur pays.

Sa permission semble durer une éternité pour lui qui n’a aucune réelle attache dans ce monde. Est-ce la solitude ? Ou bien est-ce cette sagesse, récemment acquise depuis son entrée dans l’armée, qui l’a poussé à retourner voir sa mère ? Peut-être avait-elle changé de vie s’était-il dit. Peut-être qu’avec le temps, elle avait fini par comprendre et foutu à la porte cet humain qui ne méritait pas le titre d’homme. Beacon Hills. Sans pouvoir l’expliquer, Dylan est heureux de revoir cette ville même si elle ne renferme que de douloureux souvenirs.

Retourner chez lui n’est pas difficile. Il connaît ce chemin par cœur, comme n’importe quel autre enfant rentrant chez ses parents. Mais ses pas se font moins décidés lorsqu’il approche de l’ancienne demeure familiale et qu’il pénètre dans le petit jardin peu entretenu qui encadre le perron. Par prudence, le soldat préfère jeter un coup d’oeil à travers la vitre où le rideau est un peu trop repoussé. L’intérieur ne ressemble plus à ce qu’il a connu. Tout est sale, sombre, lugubre. Les boîtes de pizza s’entassent avec les cadavres de bières. Et il n’en faut pas plus pour que Dylan comprenne que sa mère ne vit plus sous ce toit. Jamais elle n’aurait laissé un tel désordre. Son mari ne lui aurait jamais laissé la possibilité de, dans tous les cas.

Mais la pointe de soulagement qui s’était installé à l’idée que sa mère ait plié bagage s’envole aussi rapidement qu’elle est arrivé lorsqu’il aperçoit les scellés placardés sur la porte d’entrée. De la rubalise jaune, celle que possède la police habituellement, clôture l’endroit. Et le rapport de police, agrafe à même le bois de la porte, portant pour inscription “Homicide”, vient donner le coup de massue. Il sait, Dylan, que ce n’est pas son père qui a été tué à l’intérieur. Il se doute de ce qui c’est passé entre les murs gris et triste de cette baraque. La colère l’emporte et le ruban plastique se déchire, libérant l’accès à la porte.

L’odeur de la mort mêlée à la poussière plane dans la maison. Et malgré la colère, le blond prend soin de ne pas laisser de trace tant qu’il ne connaît pas le réel scénario des faits. Mais rien. La Police a tout raflé sur son passage. Il ne reste aucun indice, aucune piste. Le mystère complet. Ses réponses, l’homme les trouve dans le journal le plus récent, encore collant et humide de rosée. “Evelyn Collins, tuée sous les coups de son mari”. Ses yeux avalent les lignes noires, cherchant les informations quant au sort de son père. “Homme activement recherché.” … “Ayant pris la fuite à bord d’un pick-up de marque Ford, de couleur marron.” … “Certainement porteur d’une arme.”

Le journal balancé sur le siège passager, l’orphelin tourne la clé et d’une marche arrière brusque, il quitte cet endroit, cet enfer. Une chose l’obsède : La vengeance.

La traque commence.

Sa colère lui bourdonne dans les oreilles à chaque fois que son regard se pose sur ce bout de papier. Et c’est qui l’anime. Ce qui lui donne la hargne d’avancer, de chercher, de restreindre drastiquement ses heures de sommeil pour avaler les kilomètres. Pour passer d’un État à un autre. Il est obligé de fouiller sa mémoire pour retrouver des indices. Et comme on jetterait de l’huile sur le feu, la colère de Dylan s’intensifie un peu plus alors qu’il réussit enfin à trouver une réelle piste, celle de la maison de chasse d’un ami de son père, décédé depuis longtemps et n’ayant aucune famille. Dylan n’y était allé qu’une seule fois dans sa vie. Pour de soit disant “vacances”. La maisonnette, bordée par les bois, est un véritable calvaire à retrouver. Mais enfin, après des heures de recherches, le blond est posté devant. Les lumières sont allumées, justifiant d’une présence à l’intérieur. Dans tous les cas, il n’y a pas de doute. Le vieux pick-up délabré dont il vient d’éclater tous les pneus se trouve à quelques mètres de lui. Son père est bien l’homme qui se trouve à l’intérieur.

Et les choses vont vite. La porte s’ouvre en fracas sous le coup de pied infligé par Dylan. Le père n’a pas vraiment le temps de comprendre mais la surprise fait sortir son instinct de survie. Il prend la fuite par la porte donnant sur le lac. Et il court, il court, à travers bois, Dylan à ses trousses. Les traits du jeune homme se modifient, déformant son visage pour laisser apparaître celui d’un animal. Ses yeux jaunes brillent dans la nuit et semblent imperturbables alors que la rage l’habite tout entier et guide chacun de ses gestes. Et il attaque, au moment opportun. Il lacère avec les griffes qui ont remplacé ses ongles. Il mord avec ses canines devenues aiguisées. Les coups pleuvent comme ils ont toujours plu sur Evelyn Collins. Le père se débat, il hurle, il repousse. Mais la bête revient à la charge. Toujours plus vite, toujours plus enragée.

Et le corps cesse de remuer. Le sang qui bullait et giclait de l’énorme griffure au niveau de sa gorge arrête sa danse pour ne laisser qu’un filament brillant sous la lumière de la lune. Le cauchemar est terminé. La misérable vie de William “Bill” Collins s’arrête là.

Officiellement, Bill est annoncé comme étant une victime d’une terrible attaque d’Ours et que, seul, il a succombé à ses blessures, au milieu de la forêt. Et pour Dylan, cet instant s’apparente à une renaissance. Au début de sa seconde vie. Celle vraie, dans laquelle il ne veut plus répéter les erreurs du passé. Celle où il quitta définitivement l’armée pour intégrer la brigade de sapeurs pompiers de Beacon Hills. Celle où il arrêta de tuer. Que ce soit des talibans ou des pères à la main lourdes. Le début d’un nouveau lui, avec, pour but, d’avoir une vie normale.

Autant que possible.

Administration & bottins

Prénom & Nom

Code:
Dylan Collins

Célébrité

Code:
Chris Wood ☽ Dylan Collins

Race et/ou Clan

Code:
Dylan Collins ☽ Werewolf ☽ Aucun Clan
HΣRA
comptedecul
comptedecul
Date d'inscription : 12/11/2019
Messages : 6
Mar 12 Nov - 21:41
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